Titre : LITTLE BIG MAN
Sous-Titre : A acheter pour n’oublier aucun génocide

Durée : 2h19′

Nationalité:USA                                                                   

Réalisateur: Arthur Penn

Casting: Dustin Hoffman, Faye Dunaway, Dan George, Martin Balsam, Richard Mulligan                                                      

Année de production: 1970

Editeur vidéo CARLOTTA/sorties DVD & BLU-Ray le 18 oct 2016

Le visage de Jack Crabb encadre une fresque dédiée aux indiens cheyennes, hommage et questionnement à la fois sur les valeurs américaines et celles des natifs. L’orphelin adopté par un chef indien, témoin de leur culture dénonce alors en contrepoint l’hypocrisie, la vanité et surtout la violence des Blancs, au fil d’une vie longue de 121 ans. Extermination, batailles sanglantes, échanges d’exactions parcourent le film de scènes en scènes à contrepied de la transmission simplificatrice des western et permet à Arthur Penn de mettre en images un inoubliable chef-d’œuvre.

SUPPLÉMENTS

PRÉFACE DE PHILIPPE ROUYER

. UNE ÉPOPÉE PICARESQUE (25 mn)

Philippe Rouyer, critique à Positif et historien du cinéma, revient sur les aventures de Jack Crabb, héros tragi-comique témoin du génocide indien.

. ARTHUR PENN (LE RÉALISATEUR) : SUR LE TOURNAGE DE « LITTLE BIG MAN » (26 mn)

Dans ce documentaire du photographe américain Elliott Erwitt réalisé au coeur du tournage de Little Big Man, le cinéaste Arthur Penn se confie sur sa méthode de travail et celle de son acteur Dustin Hoffman, et revient sur les choix artistiques opérés pour ce film.

. LES MULTIPLES FACETTES DE DUSTIN HOFFMAN (14 mn)

Dans Little Big Man, Dustin Hoffman réalise l’exploit de jouer un personnage âgé de 17 à 121 ans. Dans ce documentaire signé Elliott Erwitt, le comédien américain évoque son travail sur le tournage du film d’Arthur Penn et livre quelques-uns de ses secrets d’acteur.

. BANDES-ANNONCES D’ÉPOQUE (VOST & VF) ET 2016

critique :

Le visage de Jack Crabb encadre une fresque dédiée aux indiens cheyennes, hommage et questionnement à la fois sur les valeurs américaines et celles des natifs. L’orphelin adopté par un chef indien, témoin de leur culture dénonce alors en contrepoint l’hypocrisie, la vanité et surtout la violence des Blancs, au fil d’une vie longue de 121 ans. Extermination, batailles sanglantes, échanges d’exactions parcourent le film de scènes en scènes à contrepied de la transmission simplificatrice des western et permet à Arthur Penn de mettre en images un inoubliable chef-d’œuvre.